À l’aube de la date limite de la NHL et de la NBA alors que celle de la LHSDB arrive à grands pas, le National Geographic a décidé d’enquêter sur les différentes sortes de Directeurs-généraux que nous pouvons trouver lorsque le temps de la chasse aux trades est à son paroxysme.
Il y a tout d’abord le Pas tradeur. C’est celui qui aime son équipe, les joueurs qui les composent. On le reconnaît au fait qu’il décide de ne pas faire d’échange à l’approche de la date limite des transactions. Ce choix peut avoir plusieurs raisons. Il gagne et ne veut pas défaire une formule gagnante, il perd et ne veut pas défaire une formule perdante ou il aime ses joueurs et se dit qu’ils vont bien finir par débloquer que ce soit cette saison ou la saison prochaine. Notez qu’ils peuvent faire une transaction ou deux en ce temps-ci de L’année mais ce ne sera pas des échanges qui affecteront grandement l’alignement de la saison actuelle.
Il y a aussi le Trade Partout. C’est celui qui trade souvent, mais très souvent. Son comportement peut aussi avoir plusieurs raisons. Soit son équipe est mauvaise et il tente de tout faire pour l’améliorer, soit il aime juste ça trader. Notez que ces directeurs généraux peuvent avoir des plans que tous ne comprennent pas.
Rajoutons aussi le Virageux Jeunesse. Ceux s’aperçoivent à l’approche de la date limite (ou bien s’en sont-ils aperçu avant) que l’équipe se fait vieillissante et qu’ils se doivent de rajeunir l’équipe afin de redevenir compétitif dans un avenir rapprochés. Ils essaieront donc de faire des échanges afin d’obtenir la traditionnelle nourriture de Virageux jeunesse ; des jeunes, des picks, des prospects. Notons qu’ils peuvent faire beaucoup d’échanges comme très peu et que ces échanges peuvent être qualifier de vol d’un côté comme de l’autre.
De plus, il ne faut pas oublier l’existence du l’An prochainius. C’est un directeur qui a énormément de jeunes dans son équipe mais qui lui manque un ou deux éléments d’impact afin d’amener son équipe au plus haut niveau. Ce spécimen ne fera pas nécessairement d’échange rapide car il sait qu’il a une bonne équipe et qu’il lui manque que quelques éléments pour l’emporter. Ces échanges peuvent être fait lors de la date limite ou des ententes de principe peuvent être aussi conclues. Notons que sa patience peut faire en sorte qu’il décide de transiger lors de l’entre-saison.
Finalement, notons le Geai Pas D’offrus. Nous reconnaissons ce directeur général par le fait qu’ils veut faire des échanges certes mais que dès qu’il doit faire une contre-offre, il se camoufle et la contre-offre tant attendu ne vient pas jusqu’à qu’il revienne quelques jours plus tard voulant savoir l’intérêt vis-à-vis certains de ces joueurs. Les discussions reprennent alors de plus belle jusqu’à ce que le moment de la contre-offre revienne menant du même coup à la disparition immédiate du Geai Pas d’offrus.
Voici ici plusieurs spécimens de directeur-généraux que nous pouvons voir lors de l’approche de la date limite des transactions. Si vous en avez aperçu d’autres dans les parages, n’hésitez pas à nous les décrire suite à ce message….
Accueil 
Publications 
Rechercher 
S'enregistrer 
Connexion 
Sujet: Le national Geographic présente : Les directeurs généraux 
